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Bélier 21 mars – 20 avril Feu 19 avril – 14 mai 14 avril – 14 mai (Meṣa)
Taureau 21 avril – 21 mai Terre 14 mai – 21 juin 15 mai – 14 juin (Vriṣabha)
Gémeaux 22 mai – 21 juin Air 21 juin – 21 juillet 15 juin – 16 juillet (Mithuna : "paire, couple")
Cancer 22 juin – 22 juillet Eau 21 juillet – 11 août 17 juillet – 16 août (Karka : "crabe, écrevisse")
Lion 23 juillet – 22 août Feu 11 août – 17 septembre 17 août – 16 septembre (Simha)
Vierge 23 août – 22 septembre Terre 17 septembre – 31 octobre 17 septembre – 17 octobre (Kanya)
Balance 23 septembre – 22 octobre Air 31 octobre – 23 novembre 18 octobre – 16 novembre (Tula)
Scorpion 23 octobre – 22 novembre Eau 23 novembre – 30 novembre 17 novembre – 15 décembre (Vriṣchika)
Sagittaire 23 novembre – 21 décembre Feu 18 décembre – 19 janvier 16 décembre – 14 janvier (Dhanus : "arc")
Capricorne 22 décembre – 20 janvier Terre 19 janvier – 16 février 15 janvier – 12 février (Makara)
Verseau 21 janvier – 19 février Air 16 février – 12 mars 13 février – 14 mars (Kumbha : "vase, cruche")
Poissons 20 février – 20 mars Eau 12 mars – 19 avril 15mars–13 avril (Meena)

Les dates astrologiques (fondées sur le zodiaque tropique) et les symboles sont ceux généralement utilisés en Occident. L'utilisation de dates sidérales pour les signes n'est pratiquée qu'en Inde, et l'astrologie indienne est fondée sur des signes différents.

horoscope

Signe du zodiaque Symbole Date Désignation en sanskrit

En 50 ans de conquête spatiale, ce sont plus de 4 000 engins qui ont été expédiés dans l'espace par les diverses nations de la planète. Lors de chacune de ces missions, un grand nombre de débris spatiaux ont été générés. Qu’en faire aujourd’hui, car il faut gérer cette prolifération, mais comment ?
                
                
                Satellites désintégrés, débris de lanceurs, boulons explosifs, batteries et même un tournevis égaré par un astronaute : environ deux cent mille objets, dont dix-sept mille répertoriés et suivis depuis le début de l’ère spatiale, circulent au-dessus de nos têtes et se meuvent à des vitesses très élevées. Ils constituent aujourd’hui la principale source d’accidents pour les engins spatiaux qui entreprennent des manœuvres d’évitement. Ils menacent également la vie des astronautes qui travaillent dans l’espace. En effet, dans cet environnement, la moindre particule se transforme en balle de fusil avec des quantités significatives d’énergie.
                
                «Les débris spatiaux représentent un risque potentiel de collision avec les satellites opérationnels et les véhicules habités», explique le Centre national d’études spatiales (CNES). Aussi, semble-t-il urgent aux experts, de réglementer le trafic afin d’assurer l’accès et l’utilisation de l’espace de «manière sûre et pérenne». «La présence de tous les acteurs importants du spatial, à travers leurs agences respectives [américaine, russe, chinoise, japonaise, indienne, britannique, allemande et italienne] est un élément essentiel à la mise en place de mesures forcément contraignantes mais acceptées au bénéfice de tous», ajoute le CNES.
                
                Un cimetière pour satellites en fin de carrière
                
                Les experts se penchent donc sur les aspects scientifiques mais aussi techniques et juridiques pour agir, avant tout de manière préventive, sur la prolifération de ces objets et pour mieux gérer les débris inévitables. Une solution de cimetière spatial est à l’étude pour les satellites en fin de carrière, sur une orbite qui leur serait réservée. Les différentes agences spatiales dans le monde se réunissent au sein de l’Agence internationale de coordination des débris spatiaux (IADC), un organisme a pour mission d’élaborer des règles communes et empêcher la prolifération de ces débris.
                
                Lorsqu’un satellite est en fin de vie, les opérateurs doivent s’engager à le propulser en dehors des orbites fréquentées, ce qui ne va pas de soi pour le moment car cela à un coût. La solution de cimetière spatial est donc en train d’émerger petit à petit sur une orbite réservée.
                
                C’est maintenant une évidence, dans l’espace comme sur la terre, les hommes doivent apprendre à gérer leurs déchets.